Dans un mur blanc épais, une petite porte de bois clair, ouverte. On voit le mur de pierre du puits et un seau suspendu.
«Puits de Marie de l’Incarnation». Pierre, mortier, bois, fer forgé. Vers 1650.

Puits

L’eau au monastère

Dans la Basse-Ville de Québec, bien des habitants ne ressentaient pas la nécessité de creuser un puits, puisque le fleuve était tout près. Toutefois, sur le cap Diamant, c’était une obligation pour quiconque voulait de l’eau fraîche. Chez nous, c’est Marie de l’Incarnation qui conduisit ces travaux. Cette source d’eau allait permettre aux sœurs de s’occuper efficacement des tâches ménagères.